Aujourd'hui, cette semaine, ce mois, cette année, plein d'enfants sont nés. Je souhaite à tous leurs parents d'aimer autant que moi leur rôle de maman. Comme tout le monde, il y a des jours où je me dis, dans quelle galère je me suis embarquée, dans quelle galère l'ai je projeté... Et puis il y a tout ces Moments Parfaits ... sentir son corps de garçon de 4 ans, se recroqueviller pour prendre sa place entre mes genoux quand je suis assise en tailleur. Chaque mois qui passe c'est un peu plus compliqué, il déborde ! Mais là, tout contre moi, je peux sentir sa tristesse, sa colère se ranger, je sens son corps qui se détend, et puis hop ! il se lève et retourne jouer...
Et dans un rayon de soleil, j'imagine ma maman appeler tous les jours sa maman. Prendre de ces nouvelles anodines, mais qui font la légende de chaque jour qui passe, pour le rendre plus savoureux, plus beau, plus désirable. Et par cette image, je me souviens de combien maman nous a appris à aimer la vie, chaque instant de la vie comme une fête, et je suis si heureuse de voir mon fils pris dans cette féérie.
Le temps passe, les enfants naissent, les parents meurent. Mes grands frères et sœurs apprennent à vivre sans la douceur immédiate de leur mère. Une douceur dont je sens qu'ils se parent pour être au plus près de ceux qu'ils aiment. Le temps passe, le temps a passé, rien ne sera plus comme avant, avec une nostalgie poétique de ce que j'ai pu faire avec ma maman, il faut que j'invente une nouvelle façon d'être avec elle et d'être avec mon garçon.
Et c'est la vie, et c'est comme ça qu'il faudrait l'aimer
Et dans un rayon de soleil, j'imagine ma maman appeler tous les jours sa maman. Prendre de ces nouvelles anodines, mais qui font la légende de chaque jour qui passe, pour le rendre plus savoureux, plus beau, plus désirable. Et par cette image, je me souviens de combien maman nous a appris à aimer la vie, chaque instant de la vie comme une fête, et je suis si heureuse de voir mon fils pris dans cette féérie.
Le temps passe, les enfants naissent, les parents meurent. Mes grands frères et sœurs apprennent à vivre sans la douceur immédiate de leur mère. Une douceur dont je sens qu'ils se parent pour être au plus près de ceux qu'ils aiment. Le temps passe, le temps a passé, rien ne sera plus comme avant, avec une nostalgie poétique de ce que j'ai pu faire avec ma maman, il faut que j'invente une nouvelle façon d'être avec elle et d'être avec mon garçon.
Et c'est la vie, et c'est comme ça qu'il faudrait l'aimer
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